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Le témoignage de Willy Rodriguez, qu'il a donné dans de multiples conférences publiques sans jamais varier, et qu'il résume dans une brève interview sur la vidéo qui va suivre, mérite une attention toute particulière.
Willy Rodriguez était concierge (janitor en anglais) de la Tour nord depuis vingt ans. Il connaissait donc son building comme on connaît un être vivant dont on anticipe toutes les réactions. En arrivant à son travail à 8h30 le 11/9, il est allé comme chaque matin prendre ses instructions auprès de son superviseur au 1er sous-sol de la Tour Nord. C'est là qu'il a entendu, à 8h46, une première explosion qu'il a immédiatement située en bas, dans les sous-sols inférieurs au sien. Puis, un temps après – quelques secondes – il a entendu une seconde explosion, qu'il situait, sans confusion possible, en haut de la Tour, et qui correspondait évidemment à l'impact de l'avion.
Quelques instants après, il a vu surgir de l'ascenseur remontant des sous-sols, un malheureux agent d'entretien qui avait été gravement brûlé par une explosion. Willy ne pouvait pas comprendre ce qui se passait, comme il le dit. Mais ce qui est clair dans son témoignage capital, c'est que l'explosion du bas a précédé celle du haut, ce qui signe évidemment la démolition préparée qui commence à ce moment-là par la destruction des structures souterraines d'appui, avec le prétexte de l'avion qui devait masquer les choses. Une petite erreur de timing a déclenché l'énorme explosion souterraine (cf d'autres témoignages pour la violence de ces explosions successives) quelques instants trop tôt, avant l'impact du « vol 11 »...
Naturellement, les tenants de l'histoire officielle disent que c'est le feu de kérosène du haut qui s'est propagé instantanément vers le bas. Or cela est doublement impossible. Pour une chute libre de 400 m, il faut 9 secondes, ce qui ne correspond pas à la description de Willy et d'autre part nous avons signalé qu'à l'exception d'une petite cage unique d'ascenseur de service qui faisait bien 400 m, toutes les cages principales étaient cloisonnées tous les 100 m.
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