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- à 9h40 : le transpondeur est coupé. L'avion suivi par le contrôle aérien a une vitesse variable. Au-dessus de'aéroport de Cleveland (Ohio) curieux ballet d'avions, d'alertes à la bombe, l'aéroport est évacué... Il y a une version plus tard infirmée (?) selon laquelle un avion qui pourrait être le vol 93 a atterri à Cleveland avant 10 heures...

 - à 9H57 : bataille supposée pour le contrôle de l'avion...

- à 9h59 : le passager E. Felt (?) fait un appel « pathétique » sur le numéro d'urgence (911) à partir des toilettes pour dire qu'il a entendu une explosion et qu'il voit de la fumée...

- à 10h00-10h03 : bref signal du « transpondeur du vol 93 » (altitude 2500 m)...

- à 10h02: détails contradictoires sur les derniers mots de lutte entendus dans le CVR (Cockpit Voice Recorder), dont les trois dernières minutes seront curieusement manquantes sur la bande retrouvée dans la « boîte noire »...

- à 10h02-10h10 : l'avion est supposé s 'écraser, mais les enregistrements sismiques sont peu conclusifs... SURTOUT : ON RETROUVE DES DEBRIS DE L'AVION (OU D'UN AUTRE AYANT PRIS SA PLACE ?) À 13 KM DE SHANKSVILLE et des temoins voient tomber dans le lac d'Indian Lake des « confettis » qui pourraient être les restes du courrier transporté par le veritable vol 93, substitué dès le depart (cf 40' de retard au decollage)... 

    Rapports contradictoires quant à la présence de deux chasseurs F-16 du NORAD à la poursuite du vol 93, sous la direction d'un avion-radar AWACS dont le pilote a produit un témoignage. Également, un contrôleur aérien laisse entendre que les chasseurs pistaient le vol 93... Plusieurs témoins, dont le maire de Shanksville (rapportant les témoignages directs) et celui de Indian Lake voisin, témoignent avoir entendu non le vol 93 mais un missile (?), une explosion, ressenti une secousse sismique, et vu un petit avion-jet blanc au-dessus du lieu allégué pour le « crash » du 93, avant ce crash et volant à 20 m du sol... Un Fairchild Falcon 20 (avion d'affaires) passant par là est prié par les contrôleurs aériens d'aller voir le site du crash du 93. Le pilote, descendu à 500 m, témoigne qu'il n'a vu qu'un trou dans la terre avec de la fumée... (La bombe ou le missile ayant creusé un trou censé être celui où se serait engouffré le vol 93 ?) Pour les témoins, il est clair que cet avion Falcon n'est pas celui qu'ils ont vu avant et après le « crash », lequel n'avait pas de marque distinctive et volait au ras du sol. Les agents du FBI, venus interroger les témoins, voudront leur faire dire que le petit avion qu'ils ont vu était le 757, et se prendront les pieds dans le tapis en voulant justifier sa présence : « Il prenait des photos » - « Avant le crash ? » leur demande le témoin... (Source : Mirror)

    Par la suite, les dizaines de sauveteurs retrouveront – officiellement -  très peu de restes humains – sans parler de l'absence de restes métalliques visibles de l'avion... (Sauf les restes justement des papiers d'identité des supposés terroristes, comme au WTC, et un « bandana » rouge des martyrs d'Allah...) Très curieusement, alors qu'il y a des doutes sur le tir d'un missile par la chasse ou l'explosion d'une bombe à bord, la procédure normale d'enquête, au sol, après un crash terrestre ne sera pas suivie - maillage serré du terrain pour recueillir le moindre indice, enquête officielle par le Bureau National de Sécurité des Transports (NSTB) -, le FBI estimant que ce qui s'est passé à bord du vol 93 ne fait « aucun doute »... La recherche de fuel (15 tonnes dans l'avion supposé) dans le sol autour du cratère d'impact, pour dépistage d'une contamination de l'eau, sera négative. « Tout a brûlé », disent les officiels; « nous n'avons vu aucun feu » disent les premiers témoins sur les lieux...

    Autre indication très curieuse : aucun parent ou ami ou collègue de travail des voyageurs du vol 93 ne se présente à l'aéroport de San Francisco (qui avait préparé une cellule de soutien psychologique) à l'heure (11h15, heure de la côte ouest) où devait arriver l'avion, et plus tard !... Par contraste, à Los Angeles, de nombreux parents éplorés sont venus attendre les passagers des trois autres avions détournés.

   Nul ne sait ce qui s'est exactement passé à Shanksville. Un pseudo-vol 93 a-t-il été détruit volontairement en vol alors qu'il ramenait à Washington tous les passagers et membres d'équipage des autres vols, sauf les éventuels comparses ?

   Une seule chose est sûre : la version officielle, qui fait maintenant du site fatal un lieu de pélerinage, est une fiction !

 

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