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2è partie : « Pirates » et avions (suite)
B/ Les avions AA 11 et UAL 175 censés frapper les Tours et leurs appels téléphoniques.
On présente successivement :
- le plan de cabine des avions (mais, sur ce document « officiel », les « pirates » sont figurés, alors que nous démontrons que bien évidemment, au vu des listes de passagers, ils n'étaient pas à bord)
- la « chronologie du « détournement » vu du sol, à peu près le même pour les quatre vols (même si le scénario officiel n'est en rien celui de la réalité !)
- surtout, et c'est une originalité de notre travail, on fournit l'explication la plus vraisemblable de la substitution d'avions en vol. Il est quasi certain que les pilotes – dont trois, AA11, UAL175 et AA77, étaient d'anciens pilotes militaires désignés au dernier moment par les compagnies pour ce jour-là – ont reçu sur une fréquence d'urgence un message de « taupes » infiltrées au contrôle aérien civil ou militaire, les informant d'attaques terroristes et leur demandant, pour éviter d'attirer des missiles à guidage electromagnétique, de ne plus répondre à la radio, de couper les transpondeurs et de se diriger vers telle base militaire. C'est cela qui explique ce qu'on observe au sol, le silence radio brusque et la coupure des transpondeurs, dans les quatre cas sans message préalable d'alerte, et non pas l'action de « pirates ».
- ensuite, on explique que bien entendu si la chasse n'a pas intercepté les vols déroutés, - sauf éventuellement le vol UAL 93 qui a peut-être été abattu volontairement pour supprimer du monde – c'est qu'« on » l'avait délibérément mise hors d'état d'agir, grâce aux manœuvres militaires placées à dessein ce 11 septembre qui avaient éloigné la plupart des avions de chasse vers le Grand Nord, et grâce à la confusion introduite sur les écrans radars pas les manœuvres en cours (faux détournements, etc.) En 2001, de janvier à août, nous savons que la chasse était intervenue efficacement 63 fois (!) pour s'approcher d'avions déroutés lors d'exercices d'entraînement.
- enfin on donne l'explication des faux appels téléphoniques de passagers, avec voix clonées, la grande majorité provenant du vol 93, fortement suspect d'avoir été celui hébergeant le plus de passagers fictifs, en réalité des comparses, embarqués ou non, pour bâtir le pathétique scénario du mythique « Let's roll ! » (dernière parole d'un passager censé attaquer le poste de pilotage « piraté » à l'aide du chariot des repas.
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