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Voici les 4 minutes de l'enregistrement de l'hôtesse de l'air Betty Ong (vol AA11), le seul enregistrement sur une trentaine à avoir été rendu public. L'effet est remarquable et c'est sans doute pour cela qu'il a été livré au public. Pourtant, en tendant bien l'oreille aux inflexions de la voix, la supercherie se ressent : aucun affolement dans la voix malgré cinq meurtres supposés (stabbed = poignardé), pas de cris en cabine, de voix anxieuses, et surtout ces inflexions montantes sur les fins de phrases au début de l'enregistrement (« … mace... » (gaz lacrymogène), « ...breathe » (respirer), « ...hijacked » (piraté)) et sur les reprises (« ...And euh... And euh... And euh... »). Comme les réponses sont souvent du tac au tac – mais il y a aussi des retards suspects...-, il doit s'agir d'un comparse qui parle réellement et répond juste mais dont la voix passe auparavant à travers le filtre synthétisant la voix clonée de la malheureuse Betty Ong – malheureuse parce qu'elle disparut, d'une manière ou d'une autre, le 11/9 – et ressort du filtre avec sa voix.

(La capture-son est médiocre : augmenter le volume pour bien entendre.)

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