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2è partie (suite) : « pirates » et avions

D/ Que faisait le président Bush pendant que des avions frappaient les Tours ?

L'emploi du temps et l'itinéraire de Bush pendant la journée du 9/11 sont révélateurs de la vraie nature du complot.

Tout d'abord,  il est - opportunément... - à l'heure des frappes, loin de Washington ; très exactement en Floride, où il visite une école élémentaire. Quelque temps après les faits, Bush se « coupera » en racontant en public qu'il avait vu sur sa télévision « de fonction » avant d'entrer dans la classe, le premier avion frapper la Tour nord, alors que depuis le début il était entendu que seuls les frères Naudet, cinéastes français, avaient filmé cet événement en principe inattendu.  Comme nous soupçonnons maintenant la vraie nature de « coup d'État » du 9/11, nous comprenons que les « putschistes » avaient disposé des caméras à New York pour que la marionnette Bush puisse voir en direct ce qu'ils étaient capables de faire et leur obéisse ensuite en tous points.

Il entre dans la classe (cf vidéo) et là on lui apprend la deuxième frappe. Au lieu de sortir immédiatement conférer avec son staff présidentiel, il a ce regard perdu de qui comprend à ce moment qu'il n'est qu'un jouet entre les mains des marionnettistes. Il va rester, alors que le pays est en principe attaqué, pendant vingt minutes à écouter une fillette lui lire une histoire animalière...

Ensuite, il regagne d'urgence son avion Air Force One (nom de code : Angel) sur l'aéroport de Sarasota et là il reçoit la menace « Angel is next » (cf vidéo), authentifiée par des mots de code du plus haut niveau. Son avion décolle alors et le pilote va suivre une trajectoire très particulière : montée presque à la verticale, vol à basse altitude. Comme cela consomme beaucoup de carburant, il fait escale sur la base aérienne de Barksdale (Louisiane) où des tireurs d'élite sont pré-positionnés sur les toits (récit de Th. Meyssan dans son livre princeps L'effroyable imposture, récit sans doute validé par le contre-espionnage français – DGSE, DRM – mais ceci est une autre histoire...). « Le Président George W. Bush était en déplacement en Floride le 11 septembre 2001. Moins d'une heure après le premier crash sur l'une des tours du World Trade Center, il repart sur Air Force One de l'aéroport international de Sarasota-Bradenton. L'avion va atteindre une altitude de croisière et faire des cercles pendant quarante minutes en attente du choix d'une destination sûre et ira finalement se poser sur la base de Barksdale. Il repartira ensuite vers la base aérienne d'Offut [près d'Omaha, Nebraska)] où se trouve le bunker de l'United States Strategic Command, avant de retourner à Washington. » (notice de Wikipedia sur Barksdale) À ce stade, c'est évidemment un coup d'Etat, un putsch, auquel pense l'équipe présidentielle ; il n'est pas question de ben Laden et d'al-Qaïda et son discours à la Nation, le soir, demeure ambigü.

À Offut, il reprend personnellement et physiquement en main le commandement suprême des forces armées nucléaires des USA, situé dans un bunker souterrain, d'où il conférera tout l'après-midi avec son gouvernement – mais nous savons qu'au moins Cheney, vice-président, et Rumsfeld, secrétaire d'Etat à la Défense, sont dans le camp du « gouvernement invisible » !... - pour que les putschistes ne puissent pas usurper ce commandement-là. Il prépare son discours à la Nation du soir qu'il prononcera en retournant à Washington, ayant cette fois bien intégré le rôle qu'on entend lui faire jouer et qu'il jouera fidèlement.

À Omaha, tout à côté, il est intéressant de noter que se déroule le 11 septembre un « golf de charité » dans la propriété de l'homme le plus riche du pays, Warren Buffett, qui y a convié, outre des personnalités du monde du spectacle, des p.-d.g. d'importantes sociétés ayant leur siège... dans les Tours du WTC. Ainsi, Mme Anne Tatlock, qui dirige Fiduciary Trust Inc. verra donc en direct à la télévision le deuxième avion frapper ses bureaux de la Tour sud, où périront plus de 80 de ses employés... Mais les p.-d.g. ainsi opportunément éloignés de New York, sont eux sains et saufs...  

 

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